samedi 24 mars 2007

C'était un petit jardin Qui sentait bon...


non pas le métropolitain, mais plutôt le plastique cramé.
Car voici ce qui reste du déménagement de mes voisins bas du front qui n'ont rien trouvé de mieux que d'incinérer au fond du jardin la merde qu'ils n'ont pas emmenée. Mon plus grand regret est de ne pas avoir trouvé les restes calcinés d'un ou plusieurs membres de la famille parmis les ordures.
Mais les voilà enfin partis et ce qu'ils laissent derrière eux n'est que le reflet de ce qu'ils sont.
Je demande solenellement à mes amis que si jamais par le plus grand des hasards, je devienne comme ces gens-là - qui ne pensent pas monsieur, qui ne pensent pas...- par pitié, prenez une arme et tirez-moi dessus !

John-John l' eugéniste.

4 commentaires:

Anthä a dit…

Pour avoir vécu avec toi à côté d'eux, je les reconnais parfaitement là dedans. Ca fait peur quand on s'imagine qu'il y en a des milliers comme eux pas si loin de nous.

DAD a dit…

C'est tré zouli! Vous ne comprenez rien à l'art contemporain...
Bande d'ignares!!!Moi j'appelerai ça:
"résidus de société de consommation de merde, sur fond champêtre"
Vas y Jean-Jean, passe une couche de résine dessus pour que ça devienne imputrescible.
C'est une oeuvre engagée tu sais!Quelque chose qui rejoint les idées alter-mondialistes...

Anonyme a dit…

Je suis complètement boulversifié par votre manque de raffinerie Monsieur Jean-Jean!

Anonyme a dit…

Je sens très bien le mépris d'une certaine jeunesse issue de la petite bourgeoisie qui s'oppose à la masse prolétarienne et qui n'admet pas son existence dans le tissus social de notre pays.
Ces "jeunes" ne perdent rien pour attendre, quand nous serons au pouvoir, nous saurons ce qu'il faut faire d'eux...