premières impressions, premier billet, en espérant que ça ne sera pas le dernier

Je ne sais pas pour vous mais je n’ai jamais autant d’imagination que quand je suis sous la douche ou quand je coule un bronze aux chiottes. Bon, tant pis pour le vulgaire, là il se trouve que j’étais sous la douche… une pensée est venue à moi et je me suis accroché à elle, et tenez-vous bien, oui marquons ensemble cette date au Stabilo® car, prenant mon courage à deux mains, j’ai décidé de coucher par écrit cette pensée.

Je me suis mis à penser à l’Amour – ouais bon, c’est un sujet bien bateau, désolé- et la machinerie de mon cerveau m’a amené à me souvenir de ce moment privilégié qu’est la première nuit. !!! Attention, je risque de dériver dans le mièvre, gare !!! Ceci dit je suis obligé d’admettre que ce sont les moments les plus intenses et les plus particuliers de ma vie amoureuse –beurk, ça y est je m’enfonce dans la guimauve, tant pis je continue ! Je ne vais pas prendre d’exemple, mais je me souviens parfaitement de cet état bizarre ou l’esprit semble éteint, ou notre expression semble figée dans un sourire béat, ou l’atmosphère devient tropicale à force de baisers humides et chauds. Et nous passons la nuit à nous regarder, à nous embrasser, à nous dire « je t’aime » (enfin pas toujours), à nous caresser, à se retenir de péter dans les draps, jusqu’au moment ou épuisés, nous nous endormons pour quelques courtes heures.

Et là, le plus matinal des deux (souvent moi du fait que je n’ai presque pas dormi, eh oui j’ai le sommeil très léger) attend que se réveille l’autre en souriant toujours aussi béatement –ou bêtement, c’est vous qui voyez. Et c’est reparti pour les baisers chauds mais plutôt pâteux pasque l’haleine fraîche et le bisou qui a bon goût le matin au réveil, on a ça que dans les films avec Hugh Grant, et on se prépare à passer une première journée de bonheur avec les papillons, la tête légère et un léger mal de ventre dû au manque de sommeil, et on se dit que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles…

Bon, vais aller m’inscrire sur Meetic® ça me manque tout ça…

Ah, vous allez me dire que ce billet n’a pas de conclusion, eh ben vous avez raison ! Mais l’avantage ici, c’est que je peux publier ce que je veux, je n’aurai pas une mauvaise note pour autant. D’ailleurs ceci fait une formidable conclusion à mon article, merci à moi-même d’avoir polémiqué à ce sujet –oui car soyons honnêtes, vous vous foutez complètement qu’il y aie ou pas de conclusion hein ! Allez à plus tard amis cyberdépendants (nous le sommes tous).