"Ca par exemple ! Ne serait-ce point là une clarinette ?"

citation du jour : "A enculer les poules, on finit par casser des oeufs."

Attention, certains texans sont des génies !

Lui c'est Stevie Ray Vaughan, enfin c'était, comme tout grand musicien qui se respecte il est mort, encore que lui, ça soit dans un accident d'hélico en 90. Il reprend ici un des plus beaux morceaux d'Hendrix, Little Wing, et il en fait un nouveau chef d'oeuvre. L'intéret de cette vidéo n'est pas l'image, encore que...mais le son, la qualité est très bonne pour une vidéo trouvée sur Youtube, il se peut cependant qu'il vous faille mettre le morceau en pause au début pour éviter une coupure en plein milieu, le temps de chargement étant un petit peu long.
Et là, je viens de me rappeler que j'ai paumé le seul album que j'avais de SRV...une enquête s'impose !

Ayé du péchu !

j'vais quand même les présenter pour Dad, on sait jamais hé hé !
Ladies and gentlemen, Guns & Roses !



Welcome to the Jungle.

Slowhand

Je sais, c'est toujours pas un truc péchu mais j'avais envie de la mettre celle-là, bon, je mets pas le titre, je vous laisse deviner.

Robert Wyatt - Sea Song, Rock Bottom.

Qu'est-ce que je peux en dire ? Rien je crois.
Ah si, chuuuuut ! Ecoutez la voix d'un ange !

"c'est bien ce que je vous reproche."

"Vous avez le vin petit et la cuite mesquine. Dans le fond vous méritez pas de boire."

Un singe en hiver.

C'était un petit jardin Qui sentait bon...

non pas le métropolitain, mais plutôt le plastique cramé.
Car voici ce qui reste du déménagement de mes voisins bas du front qui n'ont rien trouvé de mieux que d'incinérer au fond du jardin la merde qu'ils n'ont pas emmenée. Mon plus grand regret est de ne pas avoir trouvé les restes calcinés d'un ou plusieurs membres de la famille parmis les ordures.
Mais les voilà enfin partis et ce qu'ils laissent derrière eux n'est que le reflet de ce qu'ils sont.
Je demande solenellement à mes amis que si jamais par le plus grand des hasards, je devienne comme ces gens-là - qui ne pensent pas monsieur, qui ne pensent pas...- par pitié, prenez une arme et tirez-moi dessus !

John-John l' eugéniste.

Mes Chums, la mouche et moi...

...et aussi les toiles d'araignées.

Miouzeek !

Et la voilà enfin, j'aurais mis le temps et j'aurais bataillé dur mais finalement (et merci Anthä) j'ai réussi à installer ma radio sur ce blog ! Je vous invite donc à écouter certains morceaux qui me tiennent à coeur, et désolé pour le peu d'éclectisme dont je fais preuve (décidément ça va rester ça !) vous aurez remarqué que la plupart des artistes de cette radio sont des grand-pères voir des cadavres, bah ouais mais c'est comme ça !
Et si vous avez même pas peur, cliquez sur le chien à droite pour vous en coller plein les cages à miel !

Aleph tard...

Prenez garde à ce terrible molosse de combat catégorie 1million
qui réduit en charpie tout etre vivant fait de chair et de sang !
Sans blague !

la petite vie dans mon placard...

...ou les aventures trépidantes d'un sac de pommes de terres à la recherche de la liberté.

juste un peu de couleur

la coque d'un bateau, quelques taches de rouille...

çaymal !

premières impressions, premier billet, en espérant que ça ne sera pas le dernier

Je ne sais pas pour vous mais je n’ai jamais autant d’imagination que quand je suis sous la douche ou quand je coule un bronze aux chiottes. Bon, tant pis pour le vulgaire, là il se trouve que j’étais sous la douche… une pensée est venue à moi et je me suis accroché à elle, et tenez-vous bien, oui marquons ensemble cette date au Stabilo® car, prenant mon courage à deux mains, j’ai décidé de coucher par écrit cette pensée.

Je me suis mis à penser à l’Amour – ouais bon, c’est un sujet bien bateau, désolé- et la machinerie de mon cerveau m’a amené à me souvenir de ce moment privilégié qu’est la première nuit. !!! Attention, je risque de dériver dans le mièvre, gare !!! Ceci dit je suis obligé d’admettre que ce sont les moments les plus intenses et les plus particuliers de ma vie amoureuse –beurk, ça y est je m’enfonce dans la guimauve, tant pis je continue ! Je ne vais pas prendre d’exemple, mais je me souviens parfaitement de cet état bizarre ou l’esprit semble éteint, ou notre expression semble figée dans un sourire béat, ou l’atmosphère devient tropicale à force de baisers humides et chauds. Et nous passons la nuit à nous regarder, à nous embrasser, à nous dire « je t’aime » (enfin pas toujours), à nous caresser, à se retenir de péter dans les draps, jusqu’au moment ou épuisés, nous nous endormons pour quelques courtes heures.

Et là, le plus matinal des deux (souvent moi du fait que je n’ai presque pas dormi, eh oui j’ai le sommeil très léger) attend que se réveille l’autre en souriant toujours aussi béatement –ou bêtement, c’est vous qui voyez. Et c’est reparti pour les baisers chauds mais plutôt pâteux pasque l’haleine fraîche et le bisou qui a bon goût le matin au réveil, on a ça que dans les films avec Hugh Grant, et on se prépare à passer une première journée de bonheur avec les papillons, la tête légère et un léger mal de ventre dû au manque de sommeil, et on se dit que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles…

Bon, vais aller m’inscrire sur Meetic® ça me manque tout ça…

Ah, vous allez me dire que ce billet n’a pas de conclusion, eh ben vous avez raison ! Mais l’avantage ici, c’est que je peux publier ce que je veux, je n’aurai pas une mauvaise note pour autant. D’ailleurs ceci fait une formidable conclusion à mon article, merci à moi-même d’avoir polémiqué à ce sujet –oui car soyons honnêtes, vous vous foutez complètement qu’il y aie ou pas de conclusion hein ! Allez à plus tard amis cyberdépendants (nous le sommes tous).